Catégorie : Entreprise
Le ministre des Pêches, des Infrastructures Maritimes et Portuaires, Mme Fatou Diouf, a présidé, hier, la cérémonie d'ouverture de l'atelier du Conseil Sénégalais des Chargeurs (Cosec) qui se déroule actuellement du 09 au 12 décembre 2024 à Mbour. L'objectif du séminaire, c'est de réunir les parties prenantes publiques et privées concernées pour chercher les voies et moyens visant à dynamiser, renforcer et développer davantage les corridors de transport régionaux qui permettent de booster l'économie nationale, et au-delà, d'accélérer l'intégration africaine et la mondialisation des échanges commerciaux. Et de manière durable dans le cadre de la vision 2050.
Sous l'égide du ministre des Pêches, des Insfrastructures Maritimes et Portuaires, Mme Fatou Diouf, l'atelier du Conseil Sénégalais des Chargeurs (Cosec) s'est ouvert à Mbour. Quatre jours durant, les autorités publiques et les acteurs du secteur privé vont réfléchir pour chercher les voies et moyens visant à dynamiser, renforcer et développer davantage les corridors de transport régionaux et internationaux. Il s'agit de principales voies stratégiques utilisées pour faciliter le mouvement efficace des marchandises (fret) et des personnes entre Dakar (port,gare routière et aéroport) et le reste du monde. Comme l'a si bien déclaré Mme Fatou Diouf à l'ouverture des travaux Les changements significatifs de notre pays démontrent encore une fois de plus de notre capacité de réserver les besoins les plus agés. Et donc, ces changements ont renforcé la foi et la force de notre nation à jouer les premiers rôles en Afrique. Le choix d'une rupture systémique qui définit l'ensemble des paradigmes socio-économiques impose la modernisation des structures politiques et administratives, a fait savoir Mme le ministre des Pêches tout en ajoutant que ces ruptures offrent l'opportunité d'établir des innovations et des méthodes plus soucieuses du développement androgène, augmentant ainsi la confiance des citoyens.
Le Sénégal à la conquête du monde
En présidant cet atelier du Cosec, le ministre a rappelé que le président de la République a pris conscience très vite de l'importance des corridors dans le développement du Sénégal. Et notre pays dit-elle, de par sa position stratégique, dispose d'un potentiel immense pour démolir son top marginal en Afrique de l'Ouest. Et cela ne peut se réaliser sans une gestion intelligente des voies qui les relient au reste du monde. En effet, il est inutile de construire des cours les plus modernes sans leur assurer une exellente collectivité qui renforce leur quantité de budget et leur accés vis-à-vis des opérations économiques. Justement sous ce régistre, Mme Fatou Diouf est convaincue que notre pays peut le vivre aujourd'hui dés lors qu'il est dans un tournant décisif pour son développement Avec les corridors de transport qui relient nos ports aux marchés nationaux et internationaux, nous avons une opportunité unique de renforcer notre position en tant que plateforme commerciale en Afrique de l'Ouest, a t-elle dit, invitant les experts à réfléchir sur le véritable enjeu et de la façon la plus agile possible, de développer les agences portuaires, fluo-magiques, terrestres, capables d'assurer à la marchandise des services qui répondent aux standards internationaux sur toute la chaîne de transport. Selon elle, cette réflexion doit être inclusive et impliquer l'ensemble des acteurs intéressés de près ou de loin par l'exploration des corridors. Le développement des corridors de transport régionaux permet l'accélération et l'intégration des économies africaines, de réguler les cours de transport, de réguler les pays entravés au pays commun et d'améliorer le commerce et la collectivité régionale. L'objectif est également de veiller à ce que les infrastructures critiques, en particulier les routes, les ports et les voies ferrées, régulent les pays aux zones à conséquence agricoles ou aux zones données d'abondance de ressources minérales a conclu le ministre des Pêches, des Infrastructures Maritimes et Portuaires en rappelant la vision 2050 qui privilégie une approche qui prend en compte non seulement les aspects économiques mais aussi environnementaux et sociaux. Le ministre Fatou Diouf a rappelé l'importance d'une bonne collaboration régionale et internationale soutenant que les corridors ne connaissent pas de frontière.
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